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IHF - Association des Ingénieurs Hospitaliers de France

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Connexion N°49 Novembre Décembre 2012

La lettre d’information Des Ingénieurs Hospitaliers de France


Le mot du Président

Chères et chers collègues,

La fin de cette année 2012 s’approche à grands pas.

Elle a été difficile pour beaucoup de nos concitoyens et elle a été difficile pour l’ingénierie hospitalière avec des investissements en baisse et des crédits d’exploitation en diminution.

L’année 2013 ne s’annonce pas plus favorable et les challenges à relever seront nombreux si l’on veut préserver notre système de santé. Nous devons nous y atteler.

Malgré les difficultés rencontrées par nos établissements et nos partenaires, j’ai le plaisir de vous informer que le bilan de notre association est plutôt positif.

Nous avons atteint pour la première fois le nombre de 356 adhérents et nos Journées nationales qui se sont tenues à Auxerre du 6 au 8 juin 2012, et qui ont fait l’objet d’une couverture médiatique sans précédent, ont été plébiscitées dans les questionnaires de satisfaction des participants aussi bien au niveau de la qualité des conférences qu’au niveau de l’organisation.

C’est encourageant et nous autorise à être confiants pour nos 53èmes Journées qui se dérouleront du 19 au 21 juin 2013 au Parc Floral de Paris avec un programme très riche qui vient d’être arrêté par le comité scientifique et qui sera diffusé très prochainement.

Comme indiqué ci dessous, l’année 2012 a aussi été jalonnée par 10 réunions régionales qui ont été l’occasion d’échanger entre collègues et partenaires de l’ingénierie hospitalière.

Nos Journées de formation thématique sur la sécurité électrique ont reçu un excellent accueil. Vous pouvez découvrir le programme de formations thématiques pour 2013 dans la rubrique « Formations IHF » ci dessous.

Nous vous avions plusieurs fois annoncé la refonte de notre site Web. Après divers déboires, je vous confirme qu’il sera mis en ligne au premier semestre 2013 et j’espère qu’il sera un outil performant qui nous permettra de mieux communiquer et échanger entre acteurs de l’ingénierie hospitalière.

Au nom des membres du conseil d’administration d’IHF, je vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d’année et vous adresse tous nos meilleurs vœux pour l’année 2013.

Bien cordialement

Jacques ROOS


Les relations internationales

Le comité exécutif de IFHE EU s’est tenu à Berne le 19 octobre pour faire le point sur la préparation de la 5ème Conférence Européenne de l’Ingénierie Hospitalière (5th ECHE) qui, après Paris en 2011, se tiendra du 9 au 13 avril 2013 à Berne en Suisse.

Elle est organisée par l’association Ingénieurs Hospitaliers de Suisse (IHS).

Le programme est en cours de finalisation et sera diffusé très prochainement.

Vous pouvez retrouver toutes les informations sur cette manifestation sur le site : http://www.eche2013.ch

Jacques ROOS


Les Brèves – à partager –

ECOL’HOPITAL : à Palavas les flots (34) l’Institut st PIERRE l’hôpital des Enfants qui collabore sous convention ARS avec les CHU de Montpellier et de Nîmes voit sa démarche développement durable récompensée. Après plus de trois années d’efforts, l’hôpital est parvenu à diminuer significativement ses consommations d’énergie : – 19% pour l’électricité, -8% pour le gaz et -31% pour l’eau. Des chiffres qui en font l’un des établissements sanitaires les plus « écolos » de France.

Une spécialité qui s’ajoute à d’autres déjà connues et reconnues pour cet établissement de santé unique dans la région du Languedoc Roussillon.

L’institut st PIERRE s’est aussi lancé dans la démarche EMAS une certification européenne de développement durable, dont le centre régional anti cancéreux PAOLI CALMETTES de Marseille fut l’un des premiers établissements de santé certifiés. La démarche EMAS « Eco Management and Audit Scheme » ou encore  SMEA en français « Système de Management Environnemental et d’Audit », est une démarche développement durable créée en 1995 par l’Union européenne pour cadrer des démarches volontaires d’éco management utilisant un système de management de l’environnement (SME).

Révisée en 2002 et 2004, elle permet à toute entreprise, collectivité ou organisation le désirant, d’évaluer, améliorer et rendre compte de ses performances environnementales dans un système de management environnemental reconnu, standardisé et crédible. Toute entreprise déjà certifiée ISO 14001 obtient un certificat EMAS si elle publie une déclaration environnementale conforme aux critères de l’EMAS. Cet engagement collectif met en action de façon significative les services techniques et logistiques notamment. La certification EMAS pour l’institut st PIERRE l’hôpital des Enfants du Languedoc Roussillon aura lieu en février 2013.


La vie des Régions – à participer

Il est important que chaque adhérent  participe aux réunions régionales et soit accompagné par un ou plusieurs de ses collègues : ingénieur ou technicien supérieur.

Échanger les savoirs, partager les expériences, créer des liens d’amitiés pour s’entraider.

Participer à une réunion régionale IHF c’est aussi apporter sa contribution à une association qui depuis 55 ans  veut être utile à tous les  Ingénieurs Hospitaliers de France.

Les coordonnées de votre délégué de région sont sur le site www.ihf.fr  rubrique contact en région.

Pour toute information sur les activités en région :

Daniel BRIAND

Vice Président IHF

Coordinateur des régions

Chargé de la Formation IHF

briand.d@institut-st-pierre.fr

Voici les réunions régionales qui se sont tenues cette année 2012

  • le 02 février 2012 à Périgueux avec Catherine DUCHEN
  • le 23 Mars 2012 à Avignon avec Brigitte BRICHE
  • le 23 avril à Lyon avec Daniel BRIAND
  • le Mardi 9 Octobre 2012 à GUERET avec Laurent BARANOWSKI
  • le Vendredi 12 Octobre 2012 à Carcassonne avec Brigitte BRICHE
  • le Jeudi 18 Octobre 2012 à Nancy avec Serge GROB
  • le Vendredi 26 Octobre au CH de Bourgoin Jallieu avec  D BRIAND
  • le Vendredi 16 Novembre 2012 au CHCB à PONTIVY avec Frédéric BOUJU
  • le Vendredi 16 Novembre 2012 au CH d’Orléans avec Michel SIONNEAU
  • le Vendredi 14 décembre 2012 au CH Necker à Paris avec Virginie PRUNIER

Le calendrier des réunions régionales IHF 2013 sera établi lors de la réunion nationale des délégués le Mercredi 23 janvier 2013 à Paris.

Calendrier prévisionnel 2013 dans la connexion de janvier – février 2013


Les Journées de Formation IHF :

Pensez à vous inscrire à secretariat@ihf.fr
1 journée de formation IHF sera programmée 1er trimestre 2013 au CHU de Montpellier

 « Contraintes et obligations d’alimentation électrique dans les établissements de santé »

2 journées de formation IHF seront programmées en 2013 sur Paris

   «  Qualité de l’air et santé – les nouvelles dispositions (ERP – norme NFS- 906351…)»


Prenez date : Salons, colloques, formations, conférences….

Du 28 au 30 Mai 2013 Porte de Versailles à Paris www.salons-sante-autonomie.com

Du 29 au 31 Mai 2013 XXIVe congrès national de la Société d’Hygiène Hospitalière au CNIT à  Paris www.sf2h.net

Du 28 au 30 mai 2013 : PREVENTICA 2013 à Lille  www.preventica.com

Du 19 au 21 Juin 2013 les 53 èmes journées d’études et de formation Paris Parc Floral www.ihf.fr

Du 04 au 08 Novembre 2013 : BATIMAT et INTERCLIMAT ELEC à  Paris Nord Villepinte www.batimat.com


La veille législative – à connaître

Arrêté du 31 octobre 2012 (JO du 14 novembre 2012) définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie

Attention :

Il faut être à jour de sa cotisation IHF pour accéder aux références et détails des textes, par la rubrique « adhérent ».

 


La revue de Presse – à Lire

Du 26 au 30 novembre 2012 s’est déroulée la semaine de la sécurité des patients.

Sommes-nous en Sécurité à l’Hôpital ?  www.entrepatients.net

Qu’appelle-t-on « la sécurité des patients » ?

La sécurité des patients est un principe fondamental au cours d’une hospitalisation.

Son but est de diminuer la survenue d’événements indésirables graves liés aux soins des patients.

D’après l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les événements indésirables sont définis comme tout événement résultant « de problèmes au niveau de la pratique, des produits utilisés, des procédures ou des systèmes sanitaires ». Ces événements peuvent retarder voire empêcher les soins d’un patient, ils sont donc potentiellement dangereux pour sa santé. Il existe cependant des mesures afin d’éviter la survenue d’un événement indésirable.

Quels sont les risques ?

L’OMS estime que chaque année les événements provoqués par des médicaments ou des traitements thérapeutiques sont responsables de dizaines de millions de traumatismes invalidants voire de décès.

Il existe trois catégories de risques :

– les risques associés aux soins : actes médicaux, hygiène, utilisation d’un produit de santé, gestion de l’information (Décret n° 2010-1408 du 12 novembre 2010). Ils peuvent concerner un patient venant le temps d’une consultation, d’une investigation ou d’un traitement (par exemple, un patient qui développerait une infection urinaire suite à la pose d’une sonde urinaire),

– les risques liés aux activités de soutien : manque de personnel, équipement et leur maintenance, achats et logistique, système d’information (par exemple, dû au manque d’effectif d’infirmières, un patient attendrait plus longtemps ses soins et risquerait de souffrir d’une infection),

– les risques liés à la vie hospitalière : sécurité des personnes et des biens (par exemple, agression du personnel médical).

D’après la Haute Autorité de Santé (HAS), les événements indésirables graves pouvant entraîner la mort, représentent 275 000 à 395 000 nouveaux cas par an. Un tiers d’entre eux est considéré à un moment donné comme évitable par la communauté scientifique. Parmi ceux-ci, on note les événements qui ne devraient jamais arriver comme les interventions erronées au bloc opératoire (estimées entre 1/90 000 et 1/110 000 cas par an, par exemple, une erreur de patient qui subit alors une intervention qui ne lui était pas destinée) et les erreurs de côté (entre 1/15 000 et 1/30 000 cas par an, par exemple, le rein gauche est enlevé à un patient au lieu du rein droit).

La cause de ses risques est donc rarement associée à un manque de compétence des professionnels. Il s’agit plutôt de problèmes liés à un manque de communication, un défaut d’organisation ou de vérification.

Comment les éviter ?

Depuis quelques années, il existe des procédures permettant d’assurer la sécurité des patients. En 2009, l’OMS met en place une série de contrôles simples à effectuer avant une chirurgie au bloc opératoire. L’emploi d’une liste de contrôle réduit d’un tiers l’incidence des décès et des complications suite à une opération. La version 2011 de cette liste rédigée par la HAS comprend des questions comme « l’identité du patient est-elle correcte ? » ou « les risques d’allergie sont-ils confirmés ? ». L’utilisation de la liste a été rendue obligatoire et marque un effort majeur des professionnels de santé dans la sécurité des patients.

Les infections nosocomiales

Une maladie nosocomiale est une infection acquise à l’hôpital par un patient alors qu’il était admis pour une autre raison. Cela inclut les pathologies se déclarant après la sortie de l’hôpital ainsi que les maladies déclarées par le personnel hospitalier.

Environ 5% des patients hospitalisés en France présentent une ou plusieurs infections acquises lors de l’hospitalisation. Ces infections sont responsables de 2,8% des décès hospitaliers, soit 4 200 décès par an. D’après l’OMS, à l’échelle mondiale, plus de 1,4 millions de patients souffrent de complications infectieuses acquises à l’hôpital.

Afin de prévenir les infections nosocomiales des précautions particulières sont à prendre dans l’enceinte de l’hôpital. Chaque corps de métier possède un rôle important dans la lutte contre ces maladies. Pour limiter le risque de transmission, il est indispensable de se laver les mains rigoureusement et de porter des gants en observant les bonnes pratiques de stérilisation et de désinfection. Le personnel hospitalier observe des règles d’hygiène strictes (ongles courts, cheveux attachés, …) et porte une blouse facile à laver voire des tenues stériles à usage unique selon les services et les risques de transmission de maladies nosocomiales. De plus, un nettoyage de routine quotidien élimine toute poussière et ainsi 90% des micro-organismes. Il est renforcé dans les zones à risque de l’hôpital telles que les blocs opératoires ou les salles d’accouchement.

La communication au cœur du problème ?

La campagne de 2012 du gouvernement dont le thème est cette année : « Engageons-nous pour des soins plus sûrs », lancée par le Ministère des Affaires sociales et de la Santé, est destinée aux professionnels de santé et aux usagers. Elle met l’accent sur quatre thèmes de réflexion : renforcer l’hygiène des mains, bien utiliser les médicaments, soulager la douleur, et favoriser la communication. Ce travail est le fruit de la réflexion d’un groupe de travail composé d’usagers, d’établissements de santé et de plusieurs agences sanitaires telles que la HAS.

« Renforcer l’hygiène des mains » est un des objectifs les plus importants de cette campagne. Les professionnels de santé mais aussi les patients sont sensibilisés sur cette notion indispensable qui permet de réduire significativement le risque de transmission de maladies nosocomiales.

Les autres thèmes reposent sur la communication entre professionnels mais aussi entre le patient et le personnel hospitalier. « Bien utiliser les médicaments » est un message adressé aux patients. Il est nécessaire qu’ils comprennent leur utilisation et leur fonction. Pour cela, le patient est encouragé à en parler avec son médecin ou son pharmacien. Le thème « Soulager la douleur » reprend les principes du point précédent : il incite le patient à exprimer sa douleur aux professionnels de santé. Les professionnels, sensibilisés à l’écoute, considèrent la douleur du patient et la traitent afin d’améliorer la qualité des soins.

La communication est donc au cœur de la sécurité du patient. Les patients sont incités à dialoguer avec les praticiens hospitaliers afin qu’ils deviennent acteurs de leur propre santé. Les professionnels étaient  invités à dialoguer avec les usagers et au sein de l’équipe de santé. La communication permet alors d’opérer le patient correctement et d’améliorer la transmission des informations aux patients.


Bibliographie

Le Risque Infectieux fongique et travaux en établissements de santé mars 2011

Téléchargeable sur le site www.sf2h.net  de la Société Française d’Hygiène Hospitalière


5 Sites Internet  sélectionnés – à découvrir

www.securitesoins.fr

Les infections nosocomiales ont des origines aussi variées que le sont leurs L’apparition d’une infection nosocomiale dépend de nombreux facteurs.

www.sf2h.net

Le risque infectieux fongique et travaux en établissement de santé

www.ars.midipyrenees.sante.fr Le Guide_LIN_2011.

Antenne Régionale de Lutte contre les Infections Nosocomiales. La prévention du risque infectieux lors de travaux dans un ES requiert une organisation transversale.

www.cclin-est.org

La lutte contre les infections nosocomiales. (CLIN) … des travaux de génie civil (démolition de cloisons, … Prévenir des risques avant le début des travaux…

www.qualite-securite-soins.fr

Air – Gestion du risque infectieux associé aux soins les Infections nosocomiales chez les patients d’établissement de santé liées aux travaux de construction – Atténuer le risque travaux

Et n’oublies pas de consulter notre site www.ihf.fr


Infos Pratiques – Bon à savoir

En ces périodes de fêtes de fin d’année peut-on consommer des boissons alcoolisées dans le cadre de pot en entreprise ?

D’après le code du travail, aucune boisson autre que le vin, la bière et le cidre, n’est autorisée sur le lieu de travail (art R.4228-20) en fonction des risques rencontrés par le personnel, le chef d’entreprise a le droit d’interdire purement et simplement l’usage de l’alcool dans l’entreprise par le biais du règlement intérieur.

Suite à l’invitation d’un « pot » organisé dans le cadre de l’entreprise, en cas d’accident subi ou provoqué par un salarié sous l’emprise de l’alcool, la responsabilité de l’entreprise peut être engagée.

Il est recommandé aux organisateurs de pot en entreprise d’afficher clairement par un panneau que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé et la sécurité et de mettre à disposition des éthylotests en nombre suffisant.

Pour mémoire un verre d’alcool fait augmenter l’alcoolémie de 0.2 à 0.25 g/l. L’organisme met environ 1h30 pour éliminer un simple verre d’alcool comme le vin.


Scoop

Un nouveau texte sur les CEE (Certificat d’Économie d’Énergie)

En date du 4 octobre 2012.

Mais au fait qu’est ce que les certificats d’économie d’énergie ?

Les aides des entreprises de fourniture d’énergie : les certificats d’économies d’énergie (CEE)

Certaines entreprises vous proposent des primes, des prêts bonifiés ou des diagnostics si vous réalisez des travaux d’économies d’énergie. Ces aides interviennent dans le cadre du dispositif des certificats d’économies d’énergie.

Les certificats d’économies d’énergie, en quelques mots.

Le dispositif des certificats d’économies d’énergie, introduit en 2005 par la loi POPE, oblige les fournisseurs d’énergie (électricité, gaz, chaleur, froid et fioul domestique) à réaliser des économies d’énergie auprès de leurs clients.

S’ils ne respectent pas leurs obligations, l’État leur impose de fortes pénalités financières.

Ainsi, pendant la première période du dispositif (2006-2009), les principaux fournisseurs d’énergie dits les « obligés », tels que GDF et EDF, vous ont proposé des services d’accompagnement dans la réalisation de travaux de rénovation énergétique dans les bâtiments : conseils, diagnostics, prêts à taux bonifiés, prime… Les travaux éligibles concernent l’amélioration d’équipements thermiques dans les bâtiments (chaudières combustibles performantes, pompes à chaleur, chauffe-eau solaire…) ainsi que la rénovation du bâti (isolation des combles et des murs, remplacement d’ouvrants…). En contrepartie de cet accompagnement, les obligés récupèrent des certificats d’économies d’énergie afin de pouvoir remplir leurs obligations.

Après une première période concluante, le dispositif des certificats d’économies d’énergie entame une seconde période de 3 ans depuis le 1er janvier 2011 : les obligations imposées aux fournisseurs d’énergie sont augmentées et de nouveaux obligés entrent dans le dispositif, ce sont les distributeurs de carburant. Aussi, certains acteurs de la grande distribution se sont positionnés auprès de leurs clients afin de récupérer des certificats.

Opérations standardisées d’économies d’énergie

Les opérations standardisées d’économies d’énergie correspondent à des opérations couramment réalisées pour lesquelles une valeur forfaitaire de certificats d’économies d’énergie (CEE) à attribuer a été définie. Des fiches à caractère réglementaire – les fiches d’opérations standardisées d’économies d’énergie – précisent, pour chaque opération, notamment, les conditions de délivrance des certificats et le montant forfaitaire de certificats à délivrer.

Fiches consultables sur http://www.developpement-durable.gouv.fr


Si vous avez des informations intéressantes sur ces rubriques à communiquer

Contactez sans tarder :

connexion@ihf.fr qui fera passer le message dans la prochaine CONNEXION


 

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